Poème: Alexandre le grand par Christa Wehner Radeburg

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C'était comme si l'aube s'est cassé de suite en chanson

comme Alexander tient caché en Olympias’ utérus.

Les forêts de Macédoine bruissaient dans l'accord,

entourant le bosquet de Pella au château de Phillip.

Le jeune prince sellé son cheval et roulé

vers l'est,

transformer le monde.

Bucéphale tendue,

Bucéphale estampillé,

Bucéphale a lutté

contre la force de la jeunesse.

L'Iliade a couru à travers ses rêves,

absorbé … bientôt il se tint sur la colline de Troie …

Achille était près.

Nous nous souvenons bataille d'Issos, Darius’ mort,

le champ de bataille de Gaugamèles,

Réduite en ruines de Persepolis…

Pourtant les fontaines de Susa ajoutent leur mélodie mélodieuse

au son joyeux des cordes et de danse de mariage,

comme la splendeur de l'Orient avec la légion a été enlacé.

Le chemin du jeune homme a conduit sur les hauteurs de l'Hindu Kush

la bataille où il gagna, mais perdu Bucéphale.

Babylone, Babylone, Babylone pleure en silence

pour un jeune fils de la Grèce,

l'ami de sa jeunesse, Héphaestion,

Iskander même…

trône d'or d'un roi est brisé,

stardust de diffusion à travers la nuit pour la lumière.

Pendant des siècles, les sables du désert restent illuminées,

assumés dans un esprit aussi vieux que le temps.

Chutes du crépuscule, répartissant son éclat sur l'Euphrate,

dont profondeurs Hellas’ héritage émerge,

logées dans l'aube comme il se casse de suite en chanson..

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